P.O.V De Mary

C'est fou comme des stylos n'ont jamais étaient aussi intéressant de toute leurs vie.
Depuis que je suis ici je m'amuse à faire un avion avec une règles et deux stylos. Faisant des bruits de delta plane digne des plus grand seiyuu.

Non parce que en fait j'ai rien a foutre ici. Alors oui je sais, allez prendre en otage le frigo de la cantine sachant que Dark était de garde cette nuit là. C'était pas très intelligent. Mais ça valait le coup. Jusqu'à qu'on me demande d'allez faire du "travail forcé" non parce que enfermer des gens dans une salle pour parlementer d'un truc qu'on va devoir faire pour le Festival qui arrive.
C'EST DU TRAVAIL FORCE.

Mon avion prend son envole pour s'écrasER lamentablement sur les pieds du prof', je lève la tête vers le prof' ah merde nan l'anglais. Il ramasse l'avion calmement, s'avance vers moi, brise la règle en deux et le pose calmement sur ma table.

_ La prochaine fois c'est pas la règle que je brise. Où on en était ?


Ma rèèèègle. Ouiiin.

P.O.V Anna :

Oh mon Dieu mais qu'est-ce que je fais ici ? POURQUOI MOI ? Pour a-t-il fallu que ce gars à poils me tombe dessus quand le directeur passait par là ? Pourquoi ? Du coup le directeur à cru qu'on faisait des trucs bizarres, et puis... ET PUIS MERDE QUOI !

Enfin bref, le directeur nous a amenés ici, dans une salle remplie de gens que je connais pas. A vrai dire je ne connais personne ou presque dans ce lycée... Oui, je sais, ça fait 2 mois que les cours ont commencés, mais j'ai pas vraiment eu le temps de faire connaissance. En plus je ne parle quasiment pas japonais, ou alors avec un accent si bizarre que tout le monde me regarde de travers.

Le gars à poils commence à partir s'asseoir au fond de la classe quand un gars l'interpelle. C'est le prof d'anglais, Arthur Kirkland, mais tout le monde l'appelle "Kiwi" (je ne sais pas bien pourquoi...). Il lui dit ranger sa "fucking cock". Du coup Pervers-man s'improvise un caleçon avec du papier crépon vert (ça doit pas être confortable tout ça). Mais what the fuck quoi ?

Ah si, j'ai reconnu quelqu'un. Mary Melquior, elle est dans ma classe. Elle s'amuse à faire un avion avec sa règle. Et là, le prof d'anglais casse sa règle en deux avec un sourire psychopathe.
Mon Dieu. QUE QUELQU'UN VIENNE M'AIDER ! AU SECOUUUUUUUURS !
Du coup je reste plantée là, devant la porte, à regarder la salle d'un air terrifié. Ah mais, j'y pense, je sais même pas pourquoi on est là.

Je lance d'une toute petite voix, dans un japonais minable :
-Euh... Salut. Je... Je peux savoir pourquoi on est là ?

Et là, tout le monde se retourne vers moi, comme si ils remarquaient enfin ma présence. MAMAN AIDE MOIIII ILS VONT ME BOUFFER !

P.O.V De Rem

Le caleçon façon papier crépon ça :
- Gratte.
- C'pas confortable.
- C'est moche.
- Et j'aime pas porté des caleçons en cette saison.

Kiwi me regarde avec toujours son visage de Monsieur. Flegme Britannique.

_ Tu sais pourquoi tes là ?

_ Euh non.

Il se fait une facepalm et me tend une feuille.

" Lettre du Directeur.

Rem MIDLERTIDIG ici présent, surveillant depuis trois ans et sept mois. A aujourd'hui eu des relations sexuelle avec une élève. Le témoin, venue avertir de l’événement à indiqué qu'il n'y avait pas eu de pénétration mais BORDEL DE MERDE. REM. C'EST LA 46 EMES FOIS. La première fois je t'avais dis que si cela recommencerais je te virais. Tu as recommencer. Je tes virer. Les étudiantes on fait une PÉTITION pour que tu re-vienne. Alors bon j'espère que tu te rend compte que tu es MAJEUR Rem. Et les élèves non. Donc je suppose que tu sais ce que cela veux dire, ce que tu fais ? DE LA PÉDOPHILIE. SUR ELEVES. REM S'IL TE PLAIS JE FAIS TOUT CE QUE TU VEUX. JE TE LAISSE T'AMUSER SUR DES PROFESSEURS OU DES PIONS SI TU VEUX, ILS SONT MAJEUR. MAIS ARRETE DE TOUCHER AUX ELEVES. Je te laisse t'habiller minimum d'un caleçon car là aussi les étudiantes on fait une pétition. Mais je refuse que tu laisse apparaître tes organes sexuelles.

S'il te plais Rem.

Un effort, s'il te plais.

Le Directeur. "

_ Tu as compris maintenant ?

_ Mais c'était juste un câlin...

Il soupira, et moi je baissa la tête pour me gratter et aussi par gêne. Les adultes sont trop vicieux ils voient le viol partout.

P.O.V Allan :

Je soupire en me curant les ongles avec mon compas. Qu'est c'que j'me fais chier. Mais qu'est-ce que j'me fais chiiiiiiier. Comment j'aurais pu deviner que c'était la fille du dirlo, hein ? Comment ? J'suis pas voyant moi ! Elle me l'avait pas dit !

Bref, me voilà coincé dans cette salle de cours, entouré d'un bande de losers... Dire que je pourrais être à des tas d'endroit à la place... Dans la chambre d'une fille par exemple. Où en train de dormir. Ou dans une pizzeria. Owi une pizzeria. Dieu que j'ai faim.

D'ailleurs ces losers, ils sont assez nombreux en fait. Y a Rem, cet abruti pervers qui se balade toujours à poils, une fille latino que je connais pas avec un air de Sainte Nitouche, Mary Melquior, le bulldog français super coincé (paraît qu'elle est encore vierge la pauvre), Hikaru alias la fille-invisible, et Soraru Fujiwara la malade mentale qui fait que gueuler. Une belle bande. Et pour couronner le tout : Kiwi alias Psychophate-man et Stra alias Porno-girl.

Je me racle la gorge :
-Ouais, Miss Sainte Nitouche a raison, qu'est-ce qu'on fout là ? Parce que moi j'ai un tas de truc à faire, donc si vous avez plus besoin de moi...

shut up biatch !.

 

Je regardai le ramassis de couillons qui étais face a moi. Un bel assortiment. Entre Allan "J'ai tellement de sex appeal que ta mére hurle en me voyant", Soraru "Je hurle pour vous faire comprendre que je suis la, tellement j'ai pas de personnalité", Hikaru... Non j'ai même pas envie de dire un truc ce genre de nana. Et puis au fond, il a mon Rem, mon beau et doux Rem. Qui arrive. A walpé. Pour changer. Changeant de position sur ma table, les jambes croisés, je regardais le Soumis Blond aller remettre une lettre au norvegien (Je vous rapelle que Stra est persuadée que Rem est norvegien... ¬.¬) qui sembla s'insurger de sa peine. Enfin. La petition, c'étais moi qui l'avais fait tournée. Quand on m'avais dit "Midlertidig est viré !" j'ai faillit tomber dans les pommes. Heureusement, son sex-appeal l'avais sauvé. Si jamais il avait été viré, je crois que tout le monde aurais fait la revolution. Enfin, tout ca, ca avance pas le schmilblik. On est toujours autant de couillons a regardé les papillons invisibles passer devant nos p'tites mirettes.

Remettant mes lunettes en place, j'ecoutais ce que la portugaish concon avais a me dire. Qu'est-ce qu'on fout la ? Eh beh, vous avez pas de chance les gars. Mr "Chuis bo" me cracha a la gueule qu'il avais d'autre choses a faire. « Oui bien sur Allan, comme aller rouler sur une autre nana en manque ? Tu m'excuseras mais tu occuperas mieux ton temps ici. Quand a ce qu'on fout ici, comme vous le dites si bien, c'est parce Mr Kiwi avais besoin d'aide pour la preparation du festival. Considerez ca comme des heures de colle les gars » Bordel que l'apres-midi va etre longue...

 

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attempted girl.

   

Je m'emmerde. Mais alors avec une force. Qu'est-ce que j'ai fais pour etre la ? Bon d'accord, chuis montée sur une armoire pour faire une bataille de mousse a raser au milieu de l'internat. Mais bon, ca va tout de meme, c'est pas la mort ! Comment ca j'ai attaqué Claymore-san avec du talc ? Rooh, mais c'étais pour rire ! De quoi j'ai volé un caleçon a Kiwi ? MAIS IL ME L'AVAIS PRETE ! Ouais bon d'accord, j'ai peut-être fais pas mal de conneries en fait. Mais vous etes tous psychorigides aussi ici ! Boudant, je soupirai profondement en posant ma tête sur mes avant-bras replié sur la table. Je jettai un regard a la fenetre en reflechissant a quelles conneries j'aurais put faire aujourd'hui en sortant en ville. Mais non, j'étais bloquée dans ce lycée. Gonflant les joues, je jettais un regard vers les autres. Tiens, mon coloc fou, Allan. Je lui adressai un vague sourire, avant de tourner la tête vers Stra, qui regardai la classe de son air de dominatrice, avec ses lunettes, son chemisier blanc ouvert et sa jupe grise, elle faisais la parfaite maitresse qui punissais ses élèves sans vraiment les punir. Quand elle nous expliqua notre but ici, j'eut encore un plus gros soupir, en tapant du pied. Genial, devoir aider pour le festival de la Golden Week, mais QU'EST-CE QUE J'EN AI A BRANLER. « Putain vous etes serieux ? Franchement ? Mais c'est vraiment debile sans deconner, vous auriez pas put vous debrouiller seul ?! Chuis d'accord qu'un fruit ca a pas de bras, mais merde ! » La derniére phrase, forcement dites en regardant le professeur d'anglais.

   

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La bande de couillons ♥

Let's daze, let's change, let's save ~

Hikaru suivais Rem, docilement, de loin, mais elle le suivais. Ils avaient été tout les deux convoqués pour cette reunion un peu etrange dont on ne lui avais rien dit. Du coup, immediatement, son cerveau avais retourné la situation dans tout les sens possible et imaginable. Jusqu'au plus grand extremes. C'est donc un peu troublée et peu sure d'elle qu'elle se dirigeai vers la salle des 4eme années de musique ou se trouvai la reunion. Quand Rem rentra, automatiquement, il se fit engueuler par le prof d'anglais blond, dont elle se rapellai jamais le nom. Tout ce qu'elle savais c'est qu'il lui faisait horriblement peur.

Elle partis s'assoir non loin de son ideal masculin, tout en restant assez eloigné, histoire de ne pas gener. Quand automatiquement, tout le monde se mis a gueuler qu'ils n'avaient pas que ca a faire, et que, en gros, ca les saoulaient, elle prefera s'aplatir histoire de ne pas se faire encore plus engueuler par le fou qui la terrorrisait.

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P.O.V De Kiwi

Je laisse Rem dans sa gêne et partis m’asseoir au bureau. Exaspéré, je soupire en me massant le crâne.
Bien sur on ma donné cette tâche à cause de ça. Comme si j'en avais à foutre moi de ce Festival. Je lève les yeux vers la salle.

J'suis tombé dans une réunions des crétins anonymes.

_ FERMEZ VOS PUTAINS DE GUEULE VOS NIVEAUX DE STUPIDITÉS SONT TELLEMENT ÉLEVÉS QUE MÊME DANS L'AIR ON EN DEVIENT CON AVEC VOUS.

Silence. Je remet machinalement ma cravate en place.

_ J'vais tout de suite vous dire, j'n'ai aucune envie de faire ça et surtout pas avec vous. Mais bon il n'y à pas que vous qui ai fait des conneries... Me regarde pas comme ça je te dirais pas ce que j'ai fais pour me retrouvé là. Alors si j'en entend un parler. Ou en voit un bouger. Je lui ferrais tellement de mal qu'il quittera la pays dans les 48H. *petit silence* Bien, on à deux mois. Démerdez-vous.

P.O.V Anna :

Un silence s'abat après le discours du prof d'anglais. Et moi, je suis toujours debout devant la porte. Comme une conne. Je sais qu'il faudrait que je bouge mais bon... J'ai trop peur ! J'ai l'impression que si je bouge, le prof d'anglais va me sauter dessus. Mais bon, je peux pas rester éternellement comme ça. Pour l'instant, le prof est en train de regarder de l'autre côté de la salle. Peut-être qu'en ne faisant pas de bruit...
Comme s'il avait entendu mes pensées, le prof d'anglais se tourne vers moi et se remet à hurler :
-ET QU'EST CE QUE TU FOUT ENCORE DEBOUT TOI ! J'EN AI VRAIMENT MARRE DE CETTE CLASSE D'INCAPABLE ! SI T'ES PAS ASSISE DANS 3 SECONDES, JE PEUX TE JURER QUE TU REGRETTERA D'ETRE VENUE AU MONDE !

Je le regarde, la bouche grande ouverte, tétanisée.

-UN... DEUX...

Je me précipite vers le premier rang en manquant de trébucher, et me jette sur la chaise à côté de Mary Melquior une fraction de seconde avant le "trois".

-BIEN. (réajustage de cravate et profond soupir, comme si le seul fait de parler l'épuisait). Des questions ?

Je lève une main tremblante.

-Quoi ?! aboya-t-il.
-Euh.... C'est quoi comme festival ?

Il me jette un regard exaspéré. Ben quoi, c'est pas ma faute si je suis pas d'ici !

P.O.V De Mary

Ma rèèègle.
Tient, t'en a un qui vient de les avoir ses règles.

Une fille sortis de nulle part vient se mettre à coté de moi. Elle lève la main et pose LA question.

_ Euh... c'est quoi comme festival ?

L'anglais qui jusque là avait l'air de tous nous tuer. Avait vraiment l'air de nous vouloir du mal.

_ Le Festival de la Golden Week. On doit faire un stand. Et on a deux mois. Donc j'espère que vous avez des idées et pas trop cher, pensez bien que sur la liste des budgets on est les derniers.

Bon bah on était pas dans la merde. Je balaye la salle du regard. On est vraiment pas dans la merde. Je réfléchis pour une idée. Maid café, stand de tire, stand de déguisement, pirate café, vestiaires ou garde d'affaire ? J'ai aucune idée moi.
La latino qui s'est mit à coté de moi avait l'air totalement perdu.
Wuah, elle est nouvelle elle. La pauvre.

_ Ta fais quoi pour être ici ?

Chuchotai-je assez bas pour pas que l'autre m'entende.

P.O.V Allan :

Pfff, un festival. Pourquoi pas une kermesse tant qu'ils y sont ? Non mais vraiment ! Et puis j'ai vraiment une tête à préparer des kermesses moi ? Non ! Tout ça pour une fille... Je ferais gaffe, à l'avenir, à savoir avec qui je couche, ça vaudrait mieux.

Bon, puisque apparemment on est là pour un bout de temps, autant se mettre à l'aise. Je recule ma chaise jusqu'au mur du fond (l'avantage d'être au dernier rang), installe mes jambes sur la table et croise les bras derrière la tête. Aaaah, ça va mieux tout d'un coup. Je soupire, j'ai encore faim moi. Je décide de fermer les yeux. Comme on dit : qui dort dîne. De toute façon, c'est pas moi qui vais les aider à organiser la kermesse. Quoique... Ils pourraient faire un stand avec des filles déguisées en maids, avec des petites jupettes et des grand décolletés. Et puis elles serraient au services des gens qui passeraient voir le stand. Oh oui, ce seraient bien ça. Un tas de filles bien roulées et soumises. Chouette.

[Pour ceux qui n'auraient pas compris, Allan est en train de s'endormir (je préfère prévenir hein)]

P.O.V De Rem

Le Festival j'avais oubliiiiiiié.
Han, j'avais fais quoi l'an dernier, ah oui c'est vrais j'étais malade.
Ca m'apprendra à manger des asperges.
Brrr, les asperges ses démons cachés. Elles te font croire qu'elles sont sympa. MAIS C'EST RIEN DE TOUT CA. BIM MAUVAISE DIGESTION. BIM TROIS JOURS AVEC LES CHIOTTES.
AAAAAH JE TREMBLE RIEN QUE DE M'EN RAPPELER.

Bouuh, je veux un câlin.
Un câlin, câlin, câlin.
Je veux un câlin.
Un câlin, câlin.
Un câlin.

Je lève la main.

_ JE SAIS. UN CAFE MAID. AVEC DES JUPES ET MEME QUE LES SERVEUSES ELLES AURONT DES OREILLES DE CHAT ET DES QUEUES DE CHAT. ELLES AURONT TOUT PLEINS DE DENTELLES SUR LEURS TENUES ET DEVRONT S'ADRESSER AVEC DES "Oui Maître..." ou bien "Très bien Monsieur.". ET LE MEILLEUR ON PAYERA AVEC DES CALINS OU DES BISOUS. PLUS C'EST CHER PLUS LE CALINS OU BISOUS SERA LONG OU PLUSIEURS A LA FOIS !

Je regarde la salle tout enjoué pourquoi ya un gros silence ? J'ai dis quoi de mal ? Mais arretez vous aller me gêné !

shut up biatch !.

 

Kiwi en profita pour assoir sur autorité sur le ramassis de debile. Il hurla tellement fort que je vis les vitres trembler. Je retins un rire nerveux, la main devant la bouche, le visage tordu par un semi-sourire. Ne pas rire, ne pas rire, sinon je vais me faire frapper avec la plus grande des forces imaginables. Du coup, je mis la plus grande des force imaginable pour ne pas rire. Voyant la pauvre petit portugaish concon se faire totalement lynché par Hitler le 2eme, je manquai a nouveau d'exploser de rire. Cette fois ci, je me fis remarquer, et il se retourna vivement vers moi en me donnant un regard des plus noirs. Je ne put me retenir plus longtemps que deja j'explosai de rire, les mains sur les genoux. Le regard vers le bas, je n'eut le temps que de voir ses chaussures marcher vers moi. Je relevai legerement la tête, et vu sa tronche. Mon sang ne fit qu'un tour, je me reculai lentement, les yeux grands ouverts et une main face a moi. « Ok Kiwi, on va se calmer choupi, t'es mon copain hein, on se connais depuis longtemps maintenant... » Son visage ne se decrispa qu'un seul instant de son expression froide. Les images d'une certaine bassine d'eau me revint a l'exprit, et toute mes muscles se contractérent, alors que je tombai a genoux. « JE T'EN SUPPLIE KIWI PAS LA 4, JE FERAIS TOUT CE QUE TU VEUX, MAIS PAS LA 4 ! » Je vis un sourire lentement etiré ses lévres serrées. Oh bordel, je vais crever. Je le vis retirer sa ceinture en cuir, et pendant un instant, je m'imaginai bien autre chose que la 4. Raté. Il se plaça derriére moi, le cuir dans mon cou, et il serra, de plus en plus fort, devant le regard effaré des autres élèves. « K-K-KIWI ! CO- » Je me mis a tousser, a la recherche de l'air. « Ca t'apprendra, la prochaine fois, essaye de te retenir plus que ca, je te jure qu'on montera au dessus de 6... » Il relacha soudainement l'emprise sur mon cou, et une goulée d'air arriva a mes poumons compressés. Je me remis a tousser, plus fort cette fois ci, et une soudaine envie de vomir me pris les tripes. Pendant que Kiwi se tournai vers la classe avec un regard froid. « Qu'est-ce que vous avez ? On se remets au boulot, et vite, a moins que vous voudriez subir le meme sort qu'elle. » Je sortis en courant, avant de degueuler sur le parquet de la salle de classe.

 

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attempted girl.

Kiwi passe son temps a gueuler, c'est un truc de fou. Le menton dans ma main, je gonflais les joues en soupirant profondement d'ennui. Soudainement, Stra explosa de rire, et je dut me retenir de la suivre. Elle a un rire communicatif cette conne ! Et beh dis donc, j'ai bien fais de pas rire... Voyant le tyran sortir son arme de guerre en cuir, je me cachais le visage, histoire de pas assister a cette horreur. Aprés que Stra soit partis en courant en manquant de degueuler ses tripes sur le sol, Rem sortis soudainement une idée des plus geniales... Mais deja trop utilisé. Soudainement, un sourire m'etira les lévres et je me levai. « MOI JE SAIS ! ON FAIS UN MAID CAFE MAIS CA DEVIENS UN BUTLER CAFE, AVEC DES MECS. GENRE, ON FOUT REM ET KIWI DEVANT LES GRILLES DU FESTIVAL AVEC DES PANNEAUX FREE HUGS AND FREE KISS, ET COMME CA CA NOUS ATTIRERA DU MONDE. Mais l'idée des calins et des bisous elle est tres con Rem. » Je me tournai vers lui en tirant la langue. J'te keaf Rem-chii ♥

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P.O.V Anna :

_ Ta fais quoi pour être ici ?

Je la regarde, l'air étonnée. J'avais presque oublié que les gens peuvent être normaux dans ce pays.

_Le gars, au fond, avec le papier crépon, il m'est tombé dessus à poils. Du coup le directeur s'est imaginé des choses...

Elle hoche la tête d'un air entendu, pas l'air surprise du tout. A croire que c'est courant ici, ce genre de trucs.

_Ouais, c'est des choses qui arrivent.
_Et toi ?

Elle allait répondre quand le prof d'anglais c'est mis à étrangler une autre prof avec sa ceinture. OH. MON. DIEU.
MAIS ILS SONT TOUS TARRES DANS CE PAYS OU QUOI ?
Et la fille à côté de moi qui moufte pas, l'air impassible. Pas si normale que ça finalement....
BOUUUH J'EN AI MARRE ! J'VEUX RENTRER CHEZ MOI !

P.O.V De Mary

Awai elle est tombée sur le nudiste au mauvais moment quoi. La pauvre.
C'est quoi déjà son nom ? J'suis sur qu'elle est dans ma classe en plus. Rooh mais une tête de vendeur de churros comme ça, tu retient normalement.
Ma mémoire cette arriérée des prénoms.

...

Je rêve où l'anglais est entrain d'étouffer la norvégienne. Genre.
Comme ça.
Tranquille devant nous.
[Ah mon système de punition, Mary s'est aussi fait punir avec 8'D]
En tout cas il le fait bien.
Je me retourne voir c'que font les gens au fond.
On a la blonde apparenté à une passoire.
Le nudiste pedophile.
Une autre blonde que j'ai même pas vue arrivée mais BORDEL ELLE RELUQUE LE PEDO LA.
Han la cochonne.
Et
...
PFFFAHAHAHAHAH.
Ta le cancéreux à gueule de lapin qui dort. AHAHAHAH.
Je farfouille dans ma trousse à la recherche d'un truc. Trouvée. Ma gomme avec des Minions dessus.
Le truc que j'ai dessiner quand je m’ennuyais en math', tu va mettre utile pour une fois.
La latino me regarde se demandant surement ce que je fais. Ou bien elle se dit qu'elle est tombée chez les fous. C'pas faux.
Je coupe des petits bouts de ma gomme. Heureusement que l'anglais est occupé avec la passoire et le pedophile. Que la Norvégienne est partit vomir ses tripes de l'autre cotés.
Moi, j'ai champ libre.
Je me tourne sur ma chaise et prend une position digne des plus grands professionnels du lancer de boule de gomme.
Avec la plus grande concentration je lance ma première boule.
Eh merde, les jambes.
Deuxième essaie, les cheveux. Troisièm- bon okay en gros je le mitraille.
J'ARRIVE PAS A VISE SA PUTAIN DE BOUCHE GRANDE OUVERTE.

AAAAAH.

Je réessaye un dernier coup.
OH MY DAYUM.

J'AI REUSSIS.

P.O.V Allan :

J'étais en train de faire un merveilleux rêve mettant en scène des jolies fille en costume de main et des canettes de jus d'ananas (pourquoi du jus d'ananas ? Demandez ça au gentil monsieur qui s'occupe de faire les rêves dans ma tête) quand soudain...
Une maid me plante une canette entre la gorge.
Puis une autre.
MAIS CA VA PAS BIEN DANS TA TÊTE ?

Je me redresse soudainement et me mets à tousser comme un fou. C'était sans compter sur la maid qui m'envoie une canette dans l’œil.
Je me réveille d'un coup. J'suis en train de m'étouffer. HEEEELP.
Et bien sûr, j'avais oublié que j'étais en équilibre sur ma chaise. Résultat, je glisse de celle-ci et atterri le cul sur le sol. Et bien sûr, mes jambes restent appuyées sur la table. J'entend mon dos craquer au moment ou la chaise me tombe dessus. Position inconfortable garantie.

Je me relève péniblement avec un regard de tueur. Celui qui a OSE faire ça va mourir. Je balaye la classe du regard. Et là, j'aperçoit Melquior qui se fend la poire, une gomme à la main. Je m’approche d'elle. Elle rigole moins tout d'un coup. J'arrive devant elle, lui fait un grand sourire et lui fout une gifle.
D'habitude je tape pas les filles, mais bon, faut pas abuser.

P.O.V De Rem

Soraru me lance un regard complice.

Moi qui fait les bisous et les câlins ? MAIS UIIIIIIIIIIII.
OUI JE VEUX.
Je lui mime un bisous.
Kiwi nous regarde comme si on était fou.

_ Vous êtes des malades.

Je me jette à son cou. M'accrochant à lui comme une moule à son rocher, prennant un air de chien battu.

_ Allez s'il te plais ça sera marraaaaaant. Puis ta aucune idée de a quel point ton sex-appeal rend malade les étudiantes. Ca marcherait tellement, allez, allez. On peut prendre d'autre mec avec nous.

Je regarde la pièce pour chercher les autres mecs et voit Allan dormir dans un coin.

_ ET ALLAN AUSSI. ALLEZ.

Son air froid n'à pas changer, ça, ça veux dire non. Faut que je trouve un truc pour qu'il dise oui.
OH JE SAIS.
J'enroule mes doigts autour de sa cravate et lui baisse la tête en posant mes lèvres dans son cou.

_ S'il te plais ~

_ Rem, si nous étions dans une chambre fermée à double tour. Ca aurait pu marché. Je refuse catégoriquement de m'habiller en majordome et de distribuer des câlins à des étudiantes. Surtout avec toi à coté, ça va me fatigué.

Je lâche la cravate et recul en dehors de son espace vitale.

_ J'aurais essayé. Pff, tes nul Kiwi.

OH MAIS J'AVAIS ZAPPEE.
STRA.
AH STRA.
Je l'attrape et la sert dans mes bras.

_ Oh ma Stra ça va ?

Je fourre ma tête dans le creux de sa poitrine.

La bande de couillons ♥

Let's daze, let's change, let's save ~

Il me fais peur, au secours, sauvez moi. Je regardais avec des yeux effarés la scéne. Kirkland-sensei est vraiment taré. Ma pauvre Skjult-sensei. Skjult-sensei c'est ma copine, je l'aime bien. Elle me donne toujours des bonbons, et elle me dis qu'elle m'aideras a realiser mon reve. J'allais lever la main pour demander si je pouvais sortir, avec une excuse bidon, mais Fujiwara-san se mit a hurler un truc un peu aprés Rem-sama. Ca parlait de Maid, de Butler, ou un truc dans le genre, ca me faisais vraiment peur.

Et la. Un truc se passe. Je cru que mon coeur allais s'arreter de battre. Les yeux ecarquillés, je regardais la scéne. Je ne sais pas trop ce qu'il m'habitais actuellement. De la haine ? De l'excitation malsaine ? Non, de la haine. Une bonne tonne de haine qui m'appuyai sur la poitrine pour m'empecher de respirer. Comment un tel tyran pouvais toucher au corps doux et fragile de Rem-sama. Dans ma tête, j'elaborai soudainement toute sortes de plans pour soit le dissequer, soit le castrer, soit l'etrangler avec la meme ceinture qu'il avais utilisé pour quasiment tuer Skjult-sensei. Prenant mon courage a deux mains, je me levais en levant la main. Le regard que me jetta le fou me fit soudainement me sentir toute petite. « E-Eto... » Ma voix vacilla, et petit a petit, elle ne sorti que dans un filet. « K-K-Kirla-Kirland-sensei... J-Je me sens... Pas trés bien... J-J-Je peux sor-sortir ? » Je me penchais soudainement en avant, les deux sur les genoux. « Onegai shimasu ! »

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P.O.V De Kiwi

Je regarde Rem puis Soraru.
Ils sont sérieux.
Vraiment en plus. Moi, vivant, jamais on me fera faire ça.
Le renoue ma cravate défaite et écoute d'une oreille ce que me dit Hashiyan Hikaru.
Je lève un sourcil, Rem à vraiment des goûts spéciale.
J'hausse les épaules.

_ D'accord, mais revient dans cinq minutes et avec Rem et Stra, si tu peux.

Je tourne la tête pour voir Mary qui... lance des boules de gommes sur Allan et par la même occasion s'etouffe.
Je me masse encore une fois le front. Ils me donnent des mal de crânes.

_ Si v-

Ah. Il vient de lui donner une baffe. Et elle est entrain de lui rendre l'appareil.
Je les chope tout les deux, ouvre la fenetre et les penche dans le vide.

_ Je disais donc. Si vous pouviez arrêter juste quelques secondes de vous faire chier et ainsi arrêtez de faire chier le monde. Je vous en serrais tellement reconnaissant. Ignorez vous, vous approchez pas je sais pas faite un truc mais arretez de faire chier le monde. Merci bien.

Je les ramane dans la salle de classe.

P.O.V Anna :

Ok, bon, petit récapitulatif :
Mary a balancé des bouts de gommes sur le gars
Le gars est tombé de sa chaise
Le gars s'est levé avec un air de tueur
Le gars a giflé Mary
Mary a giflé le gars
Le prof est arrivé et a failli les faire tomber par la fenêtre

Et moi pendant ce temps qu'est ce que je fais ? J'observe la scène, la bouche et les yeux grands ouverts.
Faut que j'me barre.
Je me glisse sous la table et commence à avancer vers la porte à quatre pattes. Je commençais enfin à me dire que la vie n'étais pas si moche en fin de compte quand j'ai senti une main s'agripper au haut de ma jupe d'uniforme et y tirer dessus pour me soulever et me remettre à ma place.
J'regarde le prof d'un air dépité. J'me sens comme une vache à qui on aurait fait faire une dernière balade avant de l'emmener à l'abattoir. La vache elle se dit "Libre ! Libre" alors qu'en fait elle va mourir quand même. Bouuuuuuh pauvre petite vache.

shut up biatch !.

Apres avoir degueuler deux fois de suite mes tripes, d'avoir rejeter petit dejeuner + dejeuner, je retournai enfin vers la classe, blanche comme un cul, et les jambes tremblantes. J'avais vu ma mort arrivé... Connard. Pourtant on se connais depuis le temps ! Ca fait deux ans qu'on est collegues. ET NON. MOOOSSIEUR KIWI RESTE UN FUCKING TSUNDERE MAL BAISE CROISE AVEC HITLER ET VLADIMIR POUTINE. Quand j'entends certaines etudiantes en parler, j'ai peur pour elles sans deconner, elles le connaissent pas quoi... C'est vrai, il faut l'avouer, il a un sex-appeal de malade. Mais bon. Il est complétement abruti et taré.

Quand je rentrais dans la classe, pas trés claire dans mes idées, j'eut la scéne suivante devant les yeux. Arthur en train de defenestrer Mary et Allan. Ok. Bon. J'me casse. Connerie ou pas connerie, j'me casse et j'vais voir le directeur. Ce mec est un fou furieux dangereux. J'allais tourner les talons, que deja un Rem sauvage me sautais dessus. HAAAN, J'VAIS FONDRE IL EST TROP MIGNON. Je lui caressais les cheveux avec un grand sourire. « Rem ! Oui ca va, j'ai frolé la mort mais ca va. » Je disais ca avec un ton rassurant et chaleureux, penchant la tête sur le côté. Mon petit Rem adoré !

© MISE EN PAGE PAR TAZER.

attempted girl.

   

Je regardais tout les evenements s'enchainaient comme si tout étais normal. Ce lycée est completement abrutie. Je comprends pas pourquoi c'est sensée etre le plus grand lycée du Japon. Sans deconner, ils sont malades mentaux... Tiens, Rem fais de l'oeil a Kiwi. Pour changer. Je remis dans ma position d'eleve boudeuse, les joues gonflées et le menton sur mes avant-bras pliés sur la table. Un soupir m'echappa, et je vis Rem sauter sur Stra du genre "You're my best friend forever." Ce mec est une vraie fille facile. Oui une fille.

Soudainement, une idée me vint en tete. Mon sourire s'etira, et je me redressai. Je reflechissais deux secondes et mon cerveau se mit en veille. D'un bond, je me levais, montais sur ma table, jetta un regard dominateur aux autres, avant de me mettre a rire comme une folle. « Oh oh oh ! C'est qui maintenant les petits ! » Enlevant ma veste d'uniforme, puis mon chemisier, je restai juste avec ma cravate et mon soutif, en chantant une chanson digne des plus grands cabarets. Je vis soudainement le regard de Kiwi se poser sur moi, et j'eut un sourire crispée qui voulais dire "oops". « KAMIKAZIII BANZAIIII » Je courus sur les tables jusqu'a la porte en esperant l'atteindre avant que Kiwi ne l'attrape....

   

© MISE EN PAGE PAR TAZER.

P.O.V De Mary

AAAAAH LE MALADE.
LE MALADE.
LE MALAAAAAAAAAAADE.

Comme une débile je remue les bras pour voir si j'vais pas commencer à volée. AAAAAAAAAH JE TOMBE, JE TOMBE.
C'EST FINIT.
ADIEU ... Euh... merde a qui j'peux dire adieu ?
...
Pa- Nan même pas en rêve.
Julien ? NAN ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE.
J'ai personne a qui dit au revoir si je crève.
AH MAIS SI.,ADIEU EMA.
Puf, je tombe sur ma table.
Je m'y accroche comme ma vie. Et me releve toute tremblante.

Oh la vache j'ai vécue le truc le plus ouf de toute ma vie.
[Chut, tu dira ça dans tu s'ra plus vierge]
TA GUEULE TOI.
[Okay okay]
Je touche mon corps, voir si un morceau c'est pas détaché. Non ça va j'ai tout. Je suis vivante et en un seul morceau. TA LE STYLE OU TU L'AS PAS. Eheheheheheheheheheh.
Je me retourne voir si l'autre est pas tombé. Ah merde nan.
J'me penche vers lui.
Un albinos pâle. On dirait qu'il va disparaitre.
Je secoue ma main devant lui.

_ Eh gros, meurt pas hein. Se serait con quand même, de mourir, alors qu'on a faillit y passer.

P.O.V Allan :

Oh. My. God.
Est-ce que je suis mort ?
Oui, ça peut être que ça.
'Fin, faudrait peut-être que j'ouvre les yeux pour vérifier...
J'ouvre un œil, tout tremblant. Première vue : Melquior qui m'agite sa main devant la tête. Ah non. Ça peut pas être le paradis, ça. Melquior a vraiment rien d'un ange.
Du coup ça me fait ouvrir un deuxième œil. Ah non. J'suis pas au paradis. J'suis juste allongé sur la table. Oui, comme un con.

Je me relève, tremblant de rage et de peur, blanc comme un linge. Comment a-t-il osé ? En sachant très bien que j'avais le vertige Parce que, oui, il l'a découvert en première année. Alors COMMENT A-T-IL OSE ?!
Je me dirige vers lui a grand pas et lui plante mon doigt sous le nez (oui, je suis pas assez fou pour chercher la bagarre avec lui).

_TOI ! COMMENT A TU PU-

Soudain, je me retourne vers Melquior. Encore, Kirkland il était au courant, mais elle... Elle va se foutre de moi jusqu’à la fin de ma vie.
Je me précipite vers elle, la plaque contre le mur et lui murmure, mon visage quasiment collé au sien :

_Si jamais tu parle de ça à quelqu'un...